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Ce que tu crois être la maladie… est en réalité ta guérison
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Ce que tu crois être la maladie… est en réalité ta guérison

Et si les symptômes n’étaient pas des erreurs à corriger, mais des signaux de réparation ? Cette vérité oubliée pourrait bien transformer toute ta vision de la santé.

Le grand renversement : guérir, c’est traverser, pas supprimer

Depuis toujours, on nous a appris à fuir les symptômes. À les faire taire. À les voir comme des ennemis à abattre.

Une fièvre ? Vite, un antipyrétique.
Une douleur ? Un cachet.
Un écoulement ? On le stoppe.

La norme, c’est l’absence de sensation désagréable.

La norme, c’est l’effacement.

Mais dans cette culture du “zéro gêne”, on a totalement perdu de vue l’intelligence du vivant.
Car ce qu’on appelle la maladie… n’est souvent rien d’autre que le corps en train de guérir.

Une fièvre, c’est une montée en température volontaire pour éliminer des intrus.

Une inflammation, c’est une concentration d’énergie pour réparer.

Une toux, c’est un mouvement pour évacuer.

Une douleur, c’est un signal d’alerte, une demande de repos.

Autrement dit : le corps parle. Il agit. Il réagit. Il ne fait pas d’erreur. Il tente de rétablir l’équilibre, avec des moyens qui lui sont propres.

Et plus le symptôme est aigu, plus le corps est actif.
Plus il est en phase de nettoyage, de recentrage, de régulation.

La maladie n’est donc pas ce qu’on croit.
Elle n’est pas la cassure. Elle est la traversée.
C’est la tempête nécessaire pour retrouver le calme.
La crise avant la paix.

Et pourtant, notre médecine chimique dominante fait exactement l’inverse : elle cherche à stopper les symptômes, à anesthésier le langage du corps, à interrompre le processus naturel.

Mais que se passe-t-il lorsqu’on empêche un organisme vivant d’achever son cycle de nettoyage ?
Il s’encrasse. Il refoule. Il accumule. Et à long terme, cela devient chronique.

L’industrie de l’inversion : quand soulager devient saboter

Ce modèle médical allopathique n’est pas seulement maladroit : il est profondément conditionné par des intérêts.

L’industrie pharmaceutique ne prospère pas sur des corps en santé, mais sur des corps dépendants.
Elle n’a aucun intérêt à ce que tu guérisses vite, profondément et naturellement.
Elle a besoin que tu reviennes.
Encore. Et encore. Et encore.

Alors elle t’a appris à croire que le symptôme est dangereux.
Que tu dois t’en débarrasser à tout prix.
Que la douleur est mauvaise.
Que la fièvre est un risque.
Que l’inflammation est un drame.

Elle te vend l’idée que ton corps est incompétent.
Que sans chimie, tu es vulnérable.

Et pire encore : elle te fait culpabiliser de ne pas “prendre quelque chose”.

Dans ce climat, résister devient un acte de foi.
De foi dans le corps.
De foi dans la vie.
De foi dans l’intelligence biologique que tu portes en toi depuis ta naissance.

Car oui, ton corps sait. Il sait exactement comment expulser une toxine.
Comment neutraliser un virus.
Comment rééquilibrer une tension.
Comment restaurer un écosystème intérieur.
Le problème, ce n’est pas ton corps.
Le problème, c’est qu’on t’a appris à te méfier de lui.
À déléguer ta santé.
À obéir aux symptômes au lieu de les écouter.

Le Dr Résimont le rappelle clairement dans son livre Pleine Santé :

“Ce que l’on appelle la maladie est souvent le corps en train de se nettoyer, de se réparer.
Mais si l’on stoppe ce processus, si on le bloque systématiquement, alors les maladies deviennent chroniques, ou s’aggravent plus tard.”

Et c’est exactement ce qui se passe dans nos sociétés modernes : une avalanche de maladies chroniques, de traitements à vie, d’organismes épuisés à force d’avoir été interrompus.

Revenir au vivant : un chemin de conscience et de confiance

Il est temps de changer de paradigme.

De cesser de vouloir “faire taire” ce qui en réalité nous protège. D’arrêter de voir chaque symptôme comme une défaillance, et de commencer à le voir comme une invitation.
Une invitation à ralentir.
À sentir.
À purifier.
À revenir en nous.

Car guérir ne se résume pas à “ne plus avoir mal”.
Guérir, c’est retrouver la cohérence entre ce que nous vivons et ce que notre corps exprime.

Accompagner une fièvre au lieu de la couper.
Soutenir un processus d’élimination au lieu de le stopper.
Accueillir la douleur comme un signal au lieu de la nier.

Oui, cela demande de la présence. De la patience. Parfois du silence. Mais c’est précisément cela qui nous rend libres.

C’est cela, la vraie souveraineté en santé : ne plus déléguer la gestion de notre corps à un système qui ne cherche pas notre bien.

Tu n’as pas besoin d’une molécule miracle.
Tu as besoin de confiance.
D’un bon repos.
De bouillon chaud.
De plantes médicinales.
D’air pur.
De mains qui massent.
D’écoute.
Et surtout, d’une compréhension nouvelle : ce n’est pas en supprimant les symptômes que tu vas bien.
C’est en les accueillant que tu redeviens entier.

Tu as le droit de traverser ta guérison.
Tu as le droit d’écouter ton corps.
Tu as le droit de dire non à l’urgence médicale permanente.

Et tu as le droit, surtout, d’expérimenter ce que ça fait…de laisser ton corps faire le travail qu’il sait faire depuis toujours.
Là se trouve peut-être le plus grand acte de résistance et de conscience que tu puisses poser aujourd’hui.

Et toi, qu’est-ce que ce texte a réveillé en toi ?
Est-ce que tu t’es senti en colère ?
Rassuré ? Interpellé ? En paix ?
Je serais heureux de lire ton ressenti en commentaire.
Je sais que cela va provoquer des réactions.
Et nous ne serons pas forcément tous d’accord au début de cette réflexion.

Mais j’aimerais que cette série à propos de la santé naturelle puisse démarrer une conversation ensemble…
Mais j’ai à coeur de partager ce qui est pour moi une évidence, après presque 30 années sans jamais avoir besoin de chimie pour équilibrer ma santé.

✨ Dis-moi ce que ça t’a évoqué.
👉 Et si tu veux continuer ce chemin de retour au vivant avec moi, abonne-toi pour recevoir les prochains articles de cette série sur la santé naturelle.

Parce que comprendre… c’est déjà commencer à guérir.

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